Ismaël, promo 2020
Je suis actuellement à l’Université Catholique de Lille en Licence Droit multilingue, Europe/International.
Même si je n’étais pas le meilleur élève de la classe, j’ai beaucoup appris dans l’OIB. Il y avait des hauts et des bas, beaucoup de moments éprouvants, et j’ai souvent été fatigué au point de vouloir abandonner. Mais je n’ai eu de cesse de m’accrocher, sachant pertinemment que, même si je ne me voyais pas progresser, j’avançais à pas de géant ! C’est là la clé de la réussite en OIB : la volonté de réussir, et la détermination ! Cette année je vois vraiment la différence entre mes camarades de promo, issus de parcours classiques et moi-même: à la fois sur le niveau de langue, l’organisation face au travail, l’expression écrite et orale.
Je dois avouer que sans la préparation en OIB, ma première année universitaire aurait été beaucoup plus compliquée. Les autres sont débordés de travail, moi, j’ai l’habitude de m’organiser et je m’en sort plutôt bien, il m’arrive même de me reposer le weekend !
Claire, promo 2021
Je suis actuellement en double licence Histoire – Anglais à l’université de la Sorbonne. Cette formation comprend donc des enseignements d’une licence d’histoire et des enseignements d’une licence d’anglais, ce qui correspond à environ 24h30 de cours par semaine. Les cours de civilisation et de littérature se rapprochent de l’OIB, ce qui m’a intéressée dans cette formation car elle me permet ainsi d’approfondir et de poursuivre l’étude d’éléments abordés au lycée.
Cette formation demande beaucoup de travail (et particulièrement en histoire où le contenu des cours est très dense) mais l’OIB a été une très bonne préparation. En effet, j’étais déjà habituée à avoir une charge de travail importante avec l’OIB, la transition entre le lycée et le supérieur a donc été moins difficile de ce point de vue là. L’OIB m’a également permis de m’organiser, de mieux gérer ma charge de travail.